Dans le cadre de la lutte contre les inégalités, l'asbl bruxelloise Debateville apprend aux enfants à débattre.

En discutant, les jeunes de Debateville apprennent à débattre et renforcent leur confiance en eux. Et ils utilisent aussi ces connaissances à la maison. Maintenant, nous entendons : « Papa, je veux plus de temps d’écran », suivi d’arguments bien construits. Avec audace et des phrases complètes, les jeunes prononcent leurs discours le mercredi après-midi.

Créatif avec le sport, les mots et les actes

Créatif avec le sport, les mots et les actes. Bruxelles, laboratoire des défis métropolitains », dit-on parfois. Tout ne réussit pas, mais l’éventail des initiatives civiques inspirantes est impressionnant. Il en va de même dans le secteur de la jeunesse. Ou comment le basket-ball, le kickboxing et le débat aident les jeunes vulnérables.

Sophie Buysse : "Nous laissons le talent se gaspiller à l'échelle industrielle".

Ces enfants sont les entrepreneurs, les techniciens et les enseignants de demain. En n’y investissant pas, nous laissons le talent se gaspiller à une échelle industrielle ». La fondatrice de Debateville, Sophie, a brillé dans De Tijd. Il s’agissait d’une interview sur Debateville, la qualité de l’éducation et l’importance de l’égalité des chances.

Limbourgeoise a choisi d'enseigner à Molenbeek

Sofie Meylaers n’est pas seulement enseignante de l’école primaire Ket & Co : tous les lundis soirs, elle se tient prête à servir de mentor à notre groupe de débat à Molenbeek. Dans De Standaard, elle témoigne de son engagement et explique pourquoi elle pense qu’il est si important d’apprendre aux jeunes à débattre. « Parce que ta voix, tes mots, sont ta plus grande force. »

Mohammed est "aangenaam verrast"

Mohammed a été interviewé pour le site « Aangenaam verrast », qui souhaite présenter des projets à Bruxelles. « Je veux devenir ministre des finances », dit-il. « Je me forgerai d’abord mon opinion, puis je vérifierai auprès du peuple si mon opinion lui plaît, avant d’établir la règle. »

"Mon loisir, c'est le débat. La pensée critique, il n'y a pas de temps pour ça à l'école"

De Standaard est venu suivre le retour de nos anciens Debatevillers.  » « Le débat et la natation sont mes loisirs « , raconte le participant Rayan Muhammad. « Nous apprenons l’esprit critique, à argumenter, mais aussi à nous écouter les uns les autres. Pendant les travaux de groupe à l’école, je remarque que pas tout le monde y réussit. »

La Reine Mathilde remet un prix à Debateville

Debateville a eu l’immense honneur de recevoir le Prix Reine Mathilde “Relance Résilience”. Cette reconnaissance est la cerise sur le gâteau pour tous nos jeunes. Debateville a été choisi parmi plus de 300 projets initialement soumis, dont la sélection finale a été faite par un jury de jeunes. Karrewiet a réalisé ce beau reportage sur la cérémonie de remise des prix au Palais.

Carte Blanche: “Réorganiser les vacances scolaires pour soutenir la relance post-Covid”

Nous nous sommes presque habitués à voir nos horaires chamboulés, au gré de la pandémie. Un nouveau calendrier scolaire pourrait réellement changer la donne, en faveur d’un enseignement plus qualitatif et plus inclusif. Egalement dans L’Echo, la contribution de notre fondatrice Sophie Buysse avec Audrey Hanard pour le Groupe Du Vendredi.

Crise et opportunité : exemple de Debateville

Dans Parlons Business, une série de podcasts de la RTBF, Debateville est cité comme un exemple type de la façon de transformer la crise du corona en opportunité.

Ecole d’été Bruxelles-Ville: "Les étudiants sont très motivés".

Bruzz a visité l’une de nos écoles d’été. Grâce à l’excellente coopération avec la Ville de Bruxelles, la VGC et d’autres partenaires éducatifs, nous avons pu tout faire pour contrer le retard d’apprentissage des jeunes pendant la crise de la couronne.

"Tous ces enfants veulent être Obama"

Veto, le magazine des étudiants de Louvain, est venu suivre un atelier de débat. Ceux qui pensent qu’apprendre à débattre est terne ou ennuyeux se trompent. Grâce à des jeux flashy, le débat à Debateville devient une fête.

Débattre, la clé d’un meilleur avenir pour les jeunes

Ceux qui ont des difficultés avec leur néerlandais n’osent souvent pas s’exprimer en classe. Apprendre à débattre donne aux élèves plus de courage et de confiance en soi, écrit Sophie Buysse.