Apprendre à débattre à Debateville

Vous voulez apprendre à mieux parler ou à mieux débattre ? Alors Debateville est peut-être fait pour vous. Des ateliers périscolaires sont organisés dans plusieurs communes bruxelloises. BRUZZKet est allé jeter un coup d’œil sur à De Markten

Des cours d'été permettent aux étudiants francophones de se remettre à niveau en néerlandais pendant les vacances

Alors que de nombreux étudiants néerlandophones profitent encore de l’insouciance des vacances d’été, leurs camarades francophones de Bruxelles ont déjà repris le chemin de l’école. Pour eux, les vacances d’été sont souvent synonymes de deux mois sans néerlandais, surtout si une autre langue est parlée à la maison. Heureusement, il existe à Bruxelles des écoles d’été, comme celle de l’école primaire communale Pavillon à Schaerbeek, qui permettent d’éviter les retards linguistiques.

Les élections communales : des écoles collaboratives pour réduire les inégalités éducatives au niveau local.

« Il faut un village pour élever un enfant ». L’éducation est bien plus que ce qui se passe dans les salles de classe. Avec Nicolas Vijverman, Sophie Buysse, fondatrice de Debateville, a écrit un article pour Knack et L’Echo soulignant l’importance des écoles élargies. Dans un tel partenariat, les enfants peuvent grandir, apprendre et briller, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des murs de l’école.

Série : Debateville dans 'De Slaapkamer"

Chaque semaine, Bruzz rend visite à un enfant bruxellois dans sa chambre pour une conversation sur les rêves, l’école, les amis et le monde. Les débatteurs Renée (11) et Lavinia (10) parlent de leurs aventures à Debateville.

L’art de la parole comme tremplin vers l’avenir

Debateville est l’un de nos dix « Champions » BNP Paribas Fortis de 2023.. Le soutien est un sacré coup de pouce pour une initiative qui s’adresse au véritable cœur de la ville : les enfants.

Debateville Vilvorde – RingTV

Médias sociaux, drogues et alcool, religion et racisme, votre équipe de football préférée ou la nourriture et la boisson : les enfants de Debateville Vilvorde sont entrés dans le vif du sujet. Un peu prudents au début, mais de plus en plus confiants et respectueux des opinions différentes, ils ont déjà débattu de sujets passionnants lors de leurs premiers ateliers.

Apprendre à argumenter et débattre à Vilvorde

Debateville est une organisation qui apprend aux enfants, à partir de la cinquième année, à débattre et à développer toutes sortes de compétences. Après un démarrage réussi à Bruxelles, Debateville se déplace dans le Rand, en commençant par Vilvorde.

Debateville permet aux jeunes de débattre entre eux : "Une façon sympa d'améliorer la langue".

Peut-on désapprendre le racisme ? C’est la question dont débattent les jeunes à Debateville. Avec pour objectif d’augmenter les chances de réussite des élèves. « Tout ce qui vit dans la société est discuté avec nous », explique Sophie Buysse, fondatrice de Debateville. « Nous organisons également des ateliers pendant les mois d’été. Parce que les jeunes prennent du retard pendant les trop longues vacances d’été ».

LA FONDATRICE DE DEBATEVILLE, SOPHIE BUYSSE, DANS 'DE TIJDCAPSULE'

L’association bruxelloise Debateville, qui lutte contre les inégalités en apprenant aux jeunes à débattre, s’installera en Flandre à partir de l’année scolaire prochaine. Cette semaine, sa fondatrice Sophie Buysse est à De Tijdcapsule pour parler de son passé, de son présent, de son avenir et du temps infini.

Le message de l'Europe aux travailleurs : Se recycler ou rester à la traîne

Si l’Europe veut disposer d’une main-d’œuvre compétitive, elle doit donner une leçon à ses habitants : l’école n’est jamais finie. Debateville s’efforce de motiver les jeunes dès leur plus jeune âge pour qu’ils apprennent au-delà de la salle de classe. « Une grande partie de notre travail consiste à enthousiasmer les adolescents, à les motiver intrinsèquement à apprendre. Cela va bien au-delà de l’acquisition de compétences »

Dans le cadre de la lutte contre les inégalités, l'asbl bruxelloise Debateville apprend aux enfants à débattre.

En discutant, les jeunes de Debateville apprennent à débattre et renforcent leur confiance en eux. Et ils utilisent aussi ces connaissances à la maison. Maintenant, nous entendons : « Papa, je veux plus de temps d’écran », suivi d’arguments bien construits. Avec audace et des phrases complètes, les jeunes prononcent leurs discours le mercredi après-midi.

Créatif avec le sport, les mots et les actes

Créatif avec le sport, les mots et les actes. Bruxelles, laboratoire des défis métropolitains », dit-on parfois. Tout ne réussit pas, mais l’éventail des initiatives civiques inspirantes est impressionnant. Il en va de même dans le secteur de la jeunesse. Ou comment le basket-ball, le kickboxing et le débat aident les jeunes vulnérables.

Sophie Buysse : "Nous laissons le talent se gaspiller à l'échelle industrielle".

Ces enfants sont les entrepreneurs, les techniciens et les enseignants de demain. En n’y investissant pas, nous laissons le talent se gaspiller à une échelle industrielle ». La fondatrice de Debateville, Sophie, a brillé dans De Tijd. Il s’agissait d’une interview sur Debateville, la qualité de l’éducation et l’importance de l’égalité des chances.

Limbourgeoise a choisi d'enseigner à Molenbeek

Sofie Meylaers n’est pas seulement enseignante de l’école primaire Ket & Co : tous les lundis soirs, elle se tient prête à servir de mentor à notre groupe de débat à Molenbeek. Dans De Standaard, elle témoigne de son engagement et explique pourquoi elle pense qu’il est si important d’apprendre aux jeunes à débattre. « Parce que ta voix, tes mots, sont ta plus grande force. »

Mohammed est "aangenaam verrast"

Mohammed a été interviewé pour le site « Aangenaam verrast », qui souhaite présenter des projets à Bruxelles. « Je veux devenir ministre des finances », dit-il. « Je me forgerai d’abord mon opinion, puis je vérifierai auprès du peuple si mon opinion lui plaît, avant d’établir la règle. »

"Mon loisir, c'est le débat. La pensée critique, il n'y a pas de temps pour ça à l'école"

De Standaard est venu suivre le retour de nos anciens Debatevillers.  » « Le débat et la natation sont mes loisirs « , raconte le participant Rayan Muhammad. « Nous apprenons l’esprit critique, à argumenter, mais aussi à nous écouter les uns les autres. Pendant les travaux de groupe à l’école, je remarque que pas tout le monde y réussit. »

La Reine Mathilde remet un prix à Debateville

Debateville a eu l’immense honneur de recevoir le Prix Reine Mathilde “Relance Résilience”. Cette reconnaissance est la cerise sur le gâteau pour tous nos jeunes. Debateville a été choisi parmi plus de 300 projets initialement soumis, dont la sélection finale a été faite par un jury de jeunes. Karrewiet a réalisé ce beau reportage sur la cérémonie de remise des prix au Palais.

Carte Blanche: “Réorganiser les vacances scolaires pour soutenir la relance post-Covid”

Nous nous sommes presque habitués à voir nos horaires chamboulés, au gré de la pandémie. Un nouveau calendrier scolaire pourrait réellement changer la donne, en faveur d’un enseignement plus qualitatif et plus inclusif. Egalement dans L’Echo, la contribution de notre fondatrice Sophie Buysse avec Audrey Hanard pour le Groupe Du Vendredi.

Crise et opportunité : exemple de Debateville

Dans Parlons Business, une série de podcasts de la RTBF, Debateville est cité comme un exemple type de la façon de transformer la crise du corona en opportunité.

Ecole d’été Bruxelles-Ville: "Les étudiants sont très motivés".

Bruzz a visité l’une de nos écoles d’été. Grâce à l’excellente coopération avec la Ville de Bruxelles, la VGC et d’autres partenaires éducatifs, nous avons pu tout faire pour contrer le retard d’apprentissage des jeunes pendant la crise de la couronne.

"Tous ces enfants veulent être Obama"

Veto, le magazine des étudiants de Louvain, est venu suivre un atelier de débat. Ceux qui pensent qu’apprendre à débattre est terne ou ennuyeux se trompent. Grâce à des jeux flashy, le débat à Debateville devient une fête.

Débattre, la clé d’un meilleur avenir pour les jeunes

Ceux qui ont des difficultés avec leur néerlandais n’osent souvent pas s’exprimer en classe. Apprendre à débattre donne aux élèves plus de courage et de confiance en soi, écrit Sophie Buysse.